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Djevad Pacha

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Academic year: 2021

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L ’ I L L U S T R A T I O N 12 Septembre 1891

b j e v a»,-p a c h a

Récem m ent nom m é g rand-vizir.— P h ct. B erinda e t A nseim i.

pourrait citer, resteront parmi les œuvres capitales de l’art français.

Un certain nombre de ses tableaux mé­ ritent d'être places à côté de ces toiles cé­ lèbres : telle la Peste à Home du salon de 18G9, qui appartient au Luxembourg, et que nous reproduisons. Le sujet est em­ prunté à la Légende dorce. Le mauvais ange a pris possession de la ville condam­ née; il va frapper aux portes des maisons maudites et les désigne ainsi à la mort; déjà la poste a fait de nombreuses vic­ times ; les cadavres encombrent les rues,; un voile de tristesse flotte sur la cité. Comme l’a dit M. le directeur des Beaux- Arts devant le cercueil de l’artiste, Delau­ nay a su enfermer dans ce petit cadre une somme étonnante do grandeur et de poésie.

Comme peintre-décorateur, Delaunay laisse d’importantes compositions murales dans une quantité d’églises et de monu­ ments civils ; il a peint le Parnasse à l’Opéra de Paris, pour ne citer qu'un exem­ ple ; la mort le surprend au moment où il allait doter l’Hôtel-de-Yille, le Panthéon et la Cour do Cassation, de toiles où il dé­ ployait toutes les ressources de son art à la fois si ferme et si charmant. Le pauvre artiste considérait ces œuvres comme son I chant du cygne, il n’aura môme pas eu la

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consolation d’aller jusqu’au bout ! Et ces œuvres meurent avec lui, car nous ne voyons guère qui pourrait poursuivre la tâche commencée par un tel maître.

Baudry, Meissonier, Delaunay, enlevés en si pou de temps, quelle porto énorme subit l’école française ! Leurs œuvres nous restent, mais qui leur succédera pour don­ ner aux jeunes le parfait exemple qu'ils olTraient de dignité professionnelle ? Ceux- là étaient des artistes dans toute l’acception du mot, sincères, désintéressés, soucieux, avant tout, de se satisfaire eux-mêmes et poursuivant un idéal élevé, dut la fortune ne pas les suivre. La postérité, au moins, leur tiendra compte de leurs efforts, car elle ne manque pas de distinguer les vrais peintres des entrepreneurs de peinture.

A. d eL.

l’e x p o s i t i o n d el a s a in t e t u n iq u e A T R E V E S .

Le chapitre de la cathédrale de Trêves expose cette année à la piété des fidèles la tunique sans couture du Christ’ qu’on dit avoir été tissée par la sainte Vierge, avoir grandi en meme temps que l’enfant divin et, au jour de la passion, avoir été tirée au sort par les bourreaux. La précieuse reli- lique aurait été retrouvée en Palestine, en même temps que le bois et les clous do la Croix, par l'impératrice Hélène, mère de l’empereur Constantin qui était originaire de Trêves. C’est en souvenir de sa conver­ sion et do son baptême qu’elle donna à la ville rhénane la tunique do Notre-Seigneur.

La plus récente exposition do la sainte (unique est celle de 1811. Plus d'un million do pèlerins vint se prosterner devant l’au­ tel de l’antique dôme. On croit que cette année l’affluence sera plus considérable encore. Dès les premiers jours, réservés aux paroisses de la ville et des environs, ¡1 s’était réuni à Trêves une population flottante de plus de 150,000 âmes, qui avait envahi tous les locaux disponibles, même les nombreux couvents, et campait en par­ tie à la belle étoile, sur les parvis des églises, sur les places publiques et jusque sur les berges de la Moselle. Le premier Ilot s’est retiré, mais on compte encore, par jour, l’arrivée d’environ 10,000 visi­ teurs, surtout d’Allemagne, de Hollande et de Belgique. D'autres parties de la chré­ tienté des pèlerinages sont annoncés, le mouvement catholique des Etats-Unis se manifestera par un convoi de plusieurs milliers do personnes. Cinq paquebots sont déjà arrêtés pour le seul transport des pèlerins.

La cathédrale de Trêves a été rebâtie à trois reprises, au sixième, au onzième et au treizième siècle, chaque période y ajoutant de son style. Un cloître ogival relie le dôme à l’église des Saintes-Fem­ mes, édifice gothique du treizième siècle. L’intérieur, primitif, d'amples et sévères lignes, saisit par sa simplicité et par les

souvenirs qu'il évoque : conversions, bap­ têmes, professions de foi, toute la crise morale, passage du monde ancien au monde nouveau.

La nef est soutenue par quatre piliers énormes qui recouvrent les colonnes de granit du temps romain, et sur les vastes arcades qui les réunissent s’élèvent des faisceaux de colonnettes romanes. Par un contraste fréquent dans les églises d'Alle­ magne, au milieu de ces lignes et de ces voûtes simples et sans ornement, s’élèvent des hôtels du seizième siècle, en marbre blanc et noir. Derrière le maitre-autel on accède par un escalier soutenu par des colonnettes corinthiennes. C’est également entre des colonnes corinthiennes et deux statues emblématiques rappelant les figu­ res de la Renaissance, qu’est exposée la Sainte-Tunique.

Elle est renfermée dans une châsse en forme d’armoire vitrée qui la laisse aper­ cevoir en entier, retombant à plis droits, ses deux courtes manches passées à tra­ vers un bâton horizontal qui la soutient à la manière d'un porte-manteau. Sa lon­ gueur par devant est de 1 m. 48, par der­ rière de 1 m. 57; sa largeur au col est de 70 centimètres, à la lisière du bas de 1 m. 09. Les manches ont IG centimètres de long; elles devaient laisser 1 avant- bras nu.

A droite et à gauche du meuble qui pro­ tège la relique sont pratiquées des ouver­ tures par lesquelles les pèlerins peuvent toucher la sainte tunique ou lui faire tou­ cher des chapelets, des médailles, des sca­ pulaires. Deux prêtres reçoivent ces objets et les rendent aux fidèles qui se sont pros­ ternés quelques secondes et passent.

Les scènes les plus touchantes ont lieu dans ces courts instants. On voit des ma­ lades gravir les marches du long escalier, soutenus par deux ou trois parents ou amis, ou se traînant à l’aide de béquilles. Des mères apportent des enfants malades, et rien ne saurait rendre l’expression de foi et d’espoir de ces pauvres figures.

DJEVAD-PACI1A

La nomination de Djevad-Pacha comme grand-vizir a été une surprise dans le monde diplomatique àConstantinople 11 a fait presque toute sa carrière dans l’armée et ses aptitudes semblaient plutôt le dési­ gner à la succession du vieil Osman Ghazi dans les fonctions de séraskier. S’étant toujours tenu à l’écart des intrigues du Palais, il ne doit qu’à son seul mérite la haute faveur dont il vient d’ètre l’objet. Trop jeune au moment de la guerre turco- russe pour jouer un premier rôle, il s'y fit cependant remarquer par sa bravoure et son activité, ce qui lui valut d’ètre envoyé comme ministre au Monténégro. Apprécié du prince Nikita, il remplit avec fact une mission que rendaient difficile les souve­ nirs d’une guerre acharnée. Il consacrait ses loisirs à la publication d’une histoire militaire de l'empire ottoman, dont le pre­ mier volume, l'histoire de la célèbre milice des Janissaires, a paru avec traduction française et planches originales.

Ce travail, le premier de cette nature qui eut été tenté en Turquie, le mit en fa­ veur auprès du sultan qui l'attacha à sa personne comme aide-de-camp. 11 y a deux ans, lorsqu'une insurrection éclata dans l’ile de Crète, il fut chargé, comme chef d’état-major, d’y réorganiser l'armée impé­ riale. Nommé peu après gouverneur géné­ ral, il travailla énergiquement à la pacifi­ cation de l’ile, réprima le mouvement séparatiste et mit fin aux troubles qui avaient dégénéré en brigandages. 11 se ré­ véla administrateur do premier ordre, et c'est ce succès dans la solution d une ques­ tion vitale pour la Turquie qui a décidé Abdul-Ilamid à lui confier la plus haute magistrature de son empire.

L. MARC, D irecteur Gérant. Im p rim erie de rIllustration, L. Marc,

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12 Septembre 1891 L ’ I L L U S T R A T I O N

en mettant à profit cette circonstance. Do plus Mmc des Chalumettes se souvient de Figaro, qui, pour détourner le comte Al- maviva de ses projets sur Suzanne, lui faisait passer un faux avis sur la com­ tesse. Un homme aussi jaloux! « Tant mieux! pour tirer parti des gens de ce ca­ ractère, il ne faut qu’un peu leur fouetter le sang et c'est ce que les femmes enten­ dent si hien ! Puis, les tient-on fâchés tout rouge, avec un brin d’intrigue on les mène où l'on veut, par le nez, dans le Guadal- quivir. «

Kt Mmc des Chalumettes, forte de son passé et do son principe, se met en tète do ramener le volage par la jalousie en lui faisant croire que pendant qu’il cherche fortune ailleurs il est trompé par sa femme légitime. Ce papier griffonné au crayon, sans date, sans signature, elle le prend, elle surcharge l’écriture à l'encre, et elle le glisse dans un volume, un roman que le mari emporte pour se distraire en voyage; c'est bien le diable si M. de Triveley n’ou­ vre pas le livre et s’il ne trouve pas cette déclaration. Et s’il ne le voit pas ce billet, s'il ne s’échappe pas du volume sous ses yeux? Eh hien , il n’y a pas de pièce. S'il reconnaît son écriture1 Madame Aynès n’existe pas. — Mais il n’est pas admissible que ce mari ne se souvienne de rien? — Oh ! avec des si et des mais, il n’y a pas de théâtre possible. Les choses sont comme ça, d’après la volonté de l’auteur. Peu vous importe, pourvu que la comédie, soit amusante, et celle-là l’est, avec scs scènes- sur le coté, ses détails et ses épi­ sodes.

Très ingénieuse d’abord, la façon dont la lettre tombe entre les mains du mari. M. de Triveley est heureux ; le voici aux pieds de Sarah : le livre, déposé sur une table, roule par'hasard sur le tapis, et la lettre s'en échappe. Henri, qui l’ouvre, lit ce billet amoureux qui demande un ren­ dez-vous à Agnès. 11 est furieux, cet homme qui trompe sa femme, d'ètre trompé par elle, furieux à ce point d’oublier la pré­ sence même de l’Américaine, laquelle ré­ pond ironiquement : « Cher monsieur, tout ce qui est écrit, doit, arriver fatalement. Il était décrété là-haut qu'un mari serait trompé ce soirpar sa femme. Vous pensiez que ce serait le mien. Erreur: c’est vous. Rien n’est perdu pour le destin. »

Ces paroles philosophiques ne sont pas faites pour calmer M. de Triveley qui re­ vient au plus vite au logis, et qui inter­ roge sa femme du droit de l’époux offensé. Mm* Agnès avoue tout, mais ne se rc- pent de rien : c’est du reste son droit de re­ présailles, elle est entrée en pleine révolte, cette jeunefemme. « 11 y an n amant, ma­ dam e!— C’est vrai, monsieur. — Et il se nomme ? — Cherchez; vous ne lui auriez pas dit, vous, le nom de votre maîtresse. » Et voilà Henry, le billet à la main, en quête du coupable, prêt à le tuer quand il le connaîtra. Mais comment le trouver ? à l'aide d’un expert en écritures.

Un type des plus amusants que cet Ar­ sène Iloniface. Si habile qu'il soit, armé de sa loupe, en comparant la lettre incri­ minée avec l’écriture île tous les amis du comte, son examen est resté parfaitement inutile. Triveley désespéré a l'idée de faire apporter l’album de sa femme sur lequel les célébrités parisiennes ont écrit leurs pensées : « Ceux-là sont sûrs d'arriver qui ont de la patience et savent attendre leur tour. » Signé : Eiffel. — « L’homme doit apporter sa virginité dans le mariage; il n’est pas nécessaire que la femme en fasse autant! »Signé : A. Dumas. Un ministre voyageur a écrit ces simples mots en [las­ san t d’une gare d'inauguration à une autre : )

« Que je suis donc fatigué! » Enfin, en comparant tous ces jambages, la convic­ tion del’expert Arsène Boniface s'est faite : il connaît maintenant l’auteur du billet à Agnès : c’est M. Ernest Renan. A ce mot, la salle est partie d’un fou rire.

Toutes ces farces l’avaient mise en belle

A N N O N C E S

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Tarif des insertions, 5 francs la ligne. humour et elle a suivi la pièce sans lui de­

mander plus de sérieux et plus de logique, au petit bonheur de la rencontre des mots d’esprit, et il y on a ou beaucoup.

Quant au roman des deux époux, il s’était un peu égaré dans ces diversions, il était temps de le ramener en scène. M“ ' des Chalumettes elle-même, l’instiga­ trice de cette fantaisie, trouvait le badi­ nage assez prolongé de la sorte; mais Mrac Agnès, qui s'anime au jeu, tourmente le mari, lui fait payer cruellement son in­ fidélité et ne cède enfin que touchée par son repentir et par ses larmes. Alors la vérité sort de son puits. Personne parmi les spectateurs ne doutait de cette fin en­ trevue dès les premières scènes; mais, comme le sujet bien simple se rachetait par l'esprit et par la bonne humeur, le public a fait à cette aimable comédie le succès qu’elle méritait.

Elle est bien jouée par M1"' Sisos qui fait le rôle d’Agnès. M. Noblet joue le comte Henry avec plus de comique que de sentiment. Ce n’est pas une critique que je fai^ à cet artiste : la pièce de Ift. Berr de Turique ne va qu’à la surface des larmes. Mm, Dosclauzas est fort amusante dans son personnage de double veuve. M1,es Lucy Gérard et Lécuyer sont bien jolies, l'une dans le rôle de Sarah, l’Américaine, et l’au­ tre dans son rôle de Charlotte, une ingénue de van t laquelle disparaîtrait jusqu'à l’Agnès de Molière. M. Numès est excellent dans l’expert, dont il fait une caricature digne de Henry Monnier, le père de M. Joseph Prudhomme, l’élève de Brard et de Saint- Omer.

L'Odéon, qui donne son premier mois aux débutants, a joué un acte en vers de MM. Millanvoye et Cressonnois. La pièce a pour titre : Le docteur Mirnnus. Le su­ jet n’en est pas des plus compliqués : Léandre est amoureux de Roselle, la nièce du docteur ; sous prétexte de consultation à demander au célèbre Mirimus, il s’intro­ duit au logis; le docteur, un vieux singe auquel on n’apprend pas à faire des gri­ maces, s’aperçoit de l’amour de ces deux enfants, il les tourmente un peu et puis il les marie. Cela est si gentiment dit, avec un goût si fin, si délicat, que le public a fait l’accueil le [dus bienveillant à ce petit acte, fort bien joué par Mlle Carlix, M. Gau­ tier et M. Cornaglia.

La fin de la soirée n’a pas été aussi heu­ reuse : M. de Max débutait dans le rôle do Néron. M. de Max a remporté cette an­ née, au Conservatoire, les deux premiers prix de tragédie et de comédie; on comp­ tait donc sur un très grand succès pour ce jeune homme. On s'est trompé, et je crois qu’on se trompera souvent en lançant des débutants dans ces rôles formidables de la tragédie, qui demandent tant d’études et une si grande possession do soi-mème. Mllc Dux qui, elle aussi, avait obtenu les deux premiers prix de cette année, jouait Junie plus en soubrette qu’on tragédienne. Quant à Mllc Lerou, elle donne au rôle d’A­ grippine des accents tellement mélodra­ matiques, qu elle se souvient plus de son [iassage àl'Ambigu qu'à la ComMie-Fran­ çaise.

M. Savignv. 1

' »- ■ w j . ■ i i./w i . j- j 11. n. a u j . s. i

ncn.; ch. des not. de P aris, le 22 sept. 1891, midi.

S ad. à M* Aron, not. à P aris, 58, bd Sébastopol.

A dj.cn I c i.d eMcRiG A rL T ,n ot .. 3 1 .bd S éb asto p o l.

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