PHISCKS DF. LA CONFÍ.OÉU ATIoN AHMENIENNE DL ZEITHOUN. - Pliot. de MM. Abdullah de Constantinople.
t (
i pagne du Midi, à celle lutte les contre une armée entière, ,sue en était facile à prévoir. ¡ fut, pendant quelques jours, r, le général (depuis duc) Des duc de Guiche, M. de Giresse, jeune de tous, eurent 1 bon- lu prince, comme ils parta- urne ils auraient été prêts à l'Angoulèmc écrivait à Louis t tout, et bien occupé de ceux ande et j'exige même que le ie délivrer. Je ne crains ni la que Dieu m'enverra sera bien in, le duc d'Angoulème, ap- jgnol Castaños-a déjà franchi 'emparer du Roussillon et du ral Des Cars et Caston de Lé- Les deux envoyés du prince es chefs de corps, et les trou- ter les Espagnols au delà des , du général Castaños, ils lui l’arrivée des soldats français. devient aide de camp du duc . de chef d'cscadron 11 passa le la garde royale, avec $on
’
Vartabed ou prêtre arménien an mission à Paru.
LES PRINCES DE LA CONFÉDÉRATION ARMÉNIENNE DU ZEITHOUN, DANS l.l.-TAUHLS CIUC1KN.
/ $ Ù ^ (Voir la pa^e 1 i‘J.)
Les massacres des Arméniens de Zeithoun par Aziz- Pacha, gouverneur de Marach, en août t8(!2, ont attiré l'attention de l'Europe sur une petite confédération chré tienne indépendante, dont le siège est dans les monta gnes situées au nord de la Cilicie, à peu de distance des villes de Césarée, d'Adana et de Marach. Ce petit Etat, qui compte environ 30,000 habitants, a su se maintenir et se développer, depuis plus de quatre siècles, en dehors de toute autorité. Les Turcs, qui veulent aujourd hui soumettre ces montagnards et leur imposer une dure op pression, ont rencontré tout récemment une énergique résistance de la part des Zcïthouniens. .Nous avons ra conté, dans un des derniers numéros de la Revue des
Deux-Mondes (Ci février 1803), l’histoire des massacres
commis par les Turcs dans le Zeithoun, et la victoire si gnalée que les habitants de cette confédération ont rem portée sur Aziz-Pacha, le 14 août dernier. Ce sont les portraits des personnages qui ont joué un rôle princi pal dans cette journée que nous offrons aux lecteurs de T Illustration. Les deux personnages assis sont les prin ces Dieudonné br idounian et Lazare Chorvaïan , deux des membres du and conseil de la confédération, ve- i nus récemment Constantinople pour demander à la t Porte le mao I-ur indépendance séculaire. Le.% autres sont un spusiuoi', o u oflicier au service des prin ces, et un vartabed, ou prêtre, qui est en ce moment à Paris, où il vient solliciter des secours en faveur des fa milles de ses compatriotes, massacrées par les Turcs. L’accueil svmpatbique que les représentants des
nuis-Kişisel Arşivlerde Istanbul Belleği Taha Toros Arşivi