• Sonuç bulunamadı

Un temoin denonce la falsification des allegations Armeniennes

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Share "Un temoin denonce la falsification des allegations Armeniennes"

Copied!
2
0
0

Yükleniyor.... (view fulltext now)

Tam metin

(1)

page 2 Jeud i 15 février 1990

Un témoin dénonce la falsification des allégations arméniennes

Albert J.Amaieau, un américain âgé de 100 ans, de l ’Etat de Californie, a rédigé et signé une déclaration par devant notaire, dans laquelle il dit qu’il n ’est pas d ’accord avec les allégations des Arméniens lorsque ceux-ci disent que leurs frères ethniques ont souffert d ’un génocide perpétré par le gouvernement ottoman entre 1915 et 1923.

-

1

-Ankara (DGPI)- Le ministère des affaires étrangères a publié une déclaration concernant la dernière réunion du Conseil des ministres de la CEE ayant pour thème l’adhési­ on à part entière de la Turquie. Vo­ ici le texte de cette déclaration:

J

e suis né à Milas,en Turquie, le 20 avril

1989. En 1905 j ’étais étudiant au Col­ lège International d’Izmir (Smyrae), en Tur­ quie. Le Révérend John McGlaglan en était le Président et je suivais les cours qui étaient donnés en langue anglaise par les profes­ seurs Lawrence et Evan-Jones. Je vous livre ces détails afin que vous puissiez vérifier le bien-fondé de mes déclarations.

L

a-bàs, j ’ai fait la connaissance de beau­ coup d ’étudiants turcs d ’origine armé­ nienne dont je suis devenu l’ami et dont la plupart étaient plus âgés que m o i. Parce que mon grand-père, dont je porte le nom, avait été consul de France à İzmir, on me prenait souvent pour un chrétien et un français.

L

es étudiants arméniens pensaient qu’ils pouvaient librement discuter de leur appartenance à des sociétés secrètes armé­ niennes comme par exemple Huntchak et Tashnak Zutiun, ainsi que de leur partici­ pation active à l’entraînement de l’armée secrète qui les préparait au devoir militaire, devoir qui se résumait à une guerre subver­ sive contre l’empire ottoman et la nation, en collaboration avec la Russie tsariste qui était leur alliée.

E

n 1906, un certain nombre de riches arméniens furent assassinés à İzmir. M.Hayik Balgosian et son ami M.Artin Balukjian furent tués par deux hommes devant la maison de Balgosian à Karatash, un quartier riche d’Izmir. Quelques jours plus tard, le grand établissement Sivri- Sarian, situé dans le centre du Bazar d’Izmir, qui faisait de la vente en gros dans ses entrepôts et son magasin de tissus, reçut une bombe. M.Agop Sivri-Ssarian et un cer­ tain nombre de ses employés arméniens furent tués. Les meurtriers envoyèrent alors des messages secrets, imprimés en langue arménienne, qui menaçaient un certain nombre de marchands arméniens, des méde­ cins, des avocats et des architectes; ces mes­ sages leur disaient que s’ils ne payaient pas ce qui leur était demandé par les chefs des sociétés secrètes, ceux qui recevaient ce mes­ sage subiraient le même sort que Balgosian et Sivri-Ssarian.

L

a plupart des destinataires de ces mes­ sages durent se plier aux ordres. Quelques-uns, qui manifestement étaient satisfaits de leur statut économique, social et politique n’approuvaient pas les projets de subversion et de révolte. Ils informèrent la police d’Izmir de leurs soupçons quant à l’identité des chefs des sociétés secrètes et du fait que l’Eglise Apostolique Arménienne d’Ermeni Mahallesi, l’un des principaux quartiers arméniens d’Izmir, servait proba­ blement de dépôt d ’armes et de munitions pour le projet de révolte.

J

e fus témoin de la descente de police dans cette église et j ’ai vu les camions chargés d’armes et de munitions qui furent saisis. J ’ai vu aussi la police arrêter cinq prê­ tres et un certain nombre d’autres arméniens qui étaient dans l’église au moment de l’incursion de la police, y compris quelques- uns de mes camarades étudiants du Collège Américain.

B

ien entendu, je n’avais pas pris très au sérieux les révélations de mes camara­ des. Mais aussi, je ne pouvais pas compren­ dre la logique arménienne qui poussait à la

révolte contre un pays qui avait donné à ses minorités ethniques le droit d ’obéir à leur religion et de la pratiquer, d ’avoir des éco­ les pour l’enseignement de leur langue à leurs enfants, et qui avait offert à beaucoup d ’entre eux des postes de confiance.

J

e connaissais beaucoup d’arméniens qui

avaient des postes importants aux finan­ ces, aux Affaires Etrangères de l’empire ottoman et comme haut-fonctionnaires, consuls par exemple. Je connaissais bien des médecins arméniens riches, des avoués et même des banquiers et des architectes. On savait bien que les arméniens étaient les prin­ ces des marchands de l’Empire, et que le Sultan les favorisait, en particulier car, de toutes les communautés ethniques, ils cons­ tituaient la seule qui parlait la langue tur­ que qui était difficile, comme seconde langue après l’arménien.

L

es terroristes arméniens, aux Etats- Unis, avec les amis qu’ils ont pu duper, ont fait une entreprise de l’assassinat de per­ sonnalités officielles des Consulats, probable­ ment comme vengeance à la suite du soit-disant massacre des Arméniens en 1915.

L

eurs prélats, leurs chefs, et même notre

propre gouverneur de la Californie, M.Deukmejian, n’ont pas jugé opportun d’exprimer leur désaprobation, et par leur silence, ont donné un accord tacite à ces assassinats.

L

es chefs de ces sociétés secrètes armé­ niennes, Huntchak et Tashnak Zutiun,

les revendications arméniennes de génocide. a) Extraits du numéro de la gazette arménienne officielle Huntchak de novem­ bre 1914, publiée à Paris, France, par le Comité Révolutionnaire Arménien de la Nation Arménienne. C ’était un “ APPEL AUX ARMES... La NATION ARME­ NIENNE toute entière, moralement et matériellement se joindra à l’armée et agi­ tera l’épée de la Révolution, elle entrera dans ce conflit mondial... comme camarade armée de la Triple Entente, et en particu­ lier de la Russie, elle coopérera avec les ALLIES, se servant pleinement de tous les moyens politiques et révolutionnaires jusqu’à la victoire finale de l’Arménie, de la Cilicie, du Caucase, de l’Azerbaïdjan... Les héros qui feront le sacrifice de leur vie pour la grande cause de l’Arménie... Les Arméniens fiers de verser leur sang pour la cause de l’A rm énie...”

N

otez bien la date je vous prie. C ’était avant même la déclaration de guerre, b) Extraits d’une lettre datée du 27 jan­ vier 1918, et publiée dans le LONDON TIMES.

L

e 30 janvier 1918, signée, par Boghos Hubar, le chef reconnu de la Fédéra­ tion Révolutionnaire Arménienne, TASH­ NAK ZUTIUN: il se plaint de ce que les alliés ont refusé d’inviter le Comité Révolu­ tionnaire Arménien Hunktchak à la Confé­ rence de paix au cours de laquelle le traité entre la Turquie et les alliés fut signé à Lau­ sanne en Suisse.

“ ...Les souffrances indicibles et les per­ tes effrayantes qu’a eu à supporter la nation arménienne en raison de sa fidélité aux

A fin de rétablir la vérité et pour renseigner les sénateurs, je

vous soumets des extraits de déclarations- des aveux, en fait-

de chefs arméniens dans leurs discours e t/o u leurs com muni­

cations à leurs adhérents. Les extraits et l ’ensemble des décla­

rations sont inattaquables et l’exactitude de mes citations

peut-être aisément vérifiée.

ont poursuivi leurs activités abominables en faisant de l’agitation afin que l’on introduise leur soit-disant génocide dans le programme d ’enseignement des lycées de l’Etat de Cali­ fornie.

E

n se glorifiant de leur million de voix arméniennes, ils sont même arrivés à influencer la chambre des représentants et faire en sorte que leur programme arménien qui n ’est que du cinéma, aboutisse à des lois.

M

aintenant ils sont en train d ’essayer de faire en sorte que le Congrès des Etats-Unis adopte une Résolution: celle de choisir le 24 avril 1990 comme 75ème anni­ versaire de leur soit-disant génocide de 1,5 million d’arméniens par les Turcs-ottomans en 1915. Je suis étonné que des messieurs intelligents et rusés politiquement, comme le Sénateur Robert Dole, le chef des Répu­ blicains au Sénat, et d ’autres parmi ses col­ lègues aient été chargés de soutenir cette Résolution sans même avoir de preuves quant au bien-fondé des revendications arméniennes. Dans mon esprit, il ne fait aucun doute que le sénateur Dole et ses col­ lègues sont des hommes honnêtes et hono­ rables. Ils ont été dupés, pour arriver à considérer que les allégations arméniennes sont fondées.

A

fin d ’établir la vérité et pour rensei­ gner les sénateurs je vous soumets des extraits de déclaration -des aveux, en fait- de chefs arméniens dans leurs discours et/ou communications à leurs adhérents. Ces extraits, et l’ensemble des déclarations sont inattaquables et l’exactitude de mes citations peut être aisément vérifiée.

J

e vous soumets aussi les déclarations d’autres personnes, et en particulier celle du professeur John Dewey, de l’Université de Columbia, qui a fait des recherches sur

alliés... le fait bien connu mais seulement de quelques personnes, que dès le début de la guerre les Arméniens ont combattu aux côtés des alliés sur tous les fronts... Les arméniens ont été des belligérants “ de facto” dès lors qu’ils ont montré un refus indigné de se mettre du côté des Turcs... nos volontaires se sont battus en Syrie et en Palestine (qui à ce moment-là faisait partie de l’Empire ottoman) dans la victoire déci­ sive du général Allenby... après l’effondre­ ment de la Russie, les légions arméniennes furent les seules forces qui résistèrent à l’avance des Turcs qu’ils tinrent en échec jusqu’à ce que l’armistice fût signé. Ainsi aidèrent-ils les forces britanniques en Méso­ potamie (qui à ce moment-là faisait aussi partie de l’Empire Ottoman), empêchant les armées allemandes et turques d’envoyer des troupes à d’autres endroits.”

V

euillez noter la référence qui concerne le refus de se ranger aux côtés des Turcs, nation qui les avait vus naître et dont ils faisaient partie. Il n’y a pas de revendi­ cation de génocide.”

c) Extraits du MANIFESTE délivré par son Excellence HOVHANES KATCHA- ZOUNI premier ministre de la République Arménienne (établi après la première Guerre Mondiale), à la Convention de la Fédéra­ tion Révolutionnaire Arménienne à Buca­ rest, en Roumanie en juillet 1923, ceci était dans le texte-même du rapport.

“ ... A l’automne 1914, lorsque la Tur­ quie n’était pas encore entrée dans la guerre mais alors qu’elle s’y préparait déjà, des groupes révolutionnaires arméniens com­ mencèrent à se constituer avec beaucoup d’enthousiasme... La Fédération Révolu­ tionnaire Arménienne montrait une parti­ cipation active dans la formation de ces

D’ALBERT AMATEAU

Ce onzième jour du mois d'octobre de l'année 1989, s’est présenté devant moi notaire mandaté par l’état de Californie, Albert J.Amateau, connu de moi-même. En ma présence le dit Albert J. Ama- teau a prononcé le serment requis et a apposé sa signature au bas de cet acte juridique ainsi que sur chaque page jointe concernant la Déclaration des Faits (neuf pages) et a déclaré cet acte comme étant partie Intégrante de sa propre déclaration sous serment

groupes et l’action militaire contre la Tur­ quie... à l’automne 1914 des groupes de volontaires arméniens combattirent contre la Turquie... C’était la conséquence inévi­ table de la psycologie dont s’était nourrie la nation arménienne, pendant toute une génération... L ’hiver 1914 et le printemps 1915 furent des périodes de grande activité, d’enthousiasme et d’espoirs plus grands encore... Nous n’avions aucun doute sur l’issue de la guerre qui serait une victoire complète pour les alliés, et la Turquie serait vaincue et démembrée, et sa population arménienne serait enfin libérée... nous avions embrassé à fond la cause russe sans aucun scrupule... nous pensions que le gou­ vernement tsariste nous octroierait un gou­ vernement indépendant dans le Caucase et dans les “ villayets” arméniennes (provinces turques dans lesquelles vivaient beaucoup d ’arméniens), libérées de la Turquie, et cela comme récompense de notre loyauté, de nos efforts et de notre aide. Malheureusement la Russie n’a pas tenu parole...”

O

n prétend qu’un million et demi d’arméniens ont été massacrés. Les aveux de leurs chefs avant et après la pre­ mière guerre mondiale prouvent qu’il n’y a eu aucun massacre. Leurs chefs y auraient fait allusion où bien l’auraient revendiqué comme une calamité ou encore au moins comme une contribution à la cause des alliés.

A SUIVRE

HEBDOMADAIRE Edition française EDITEUR Kaya G.TOPERİ

(pour la Direction Générale de la Presse et de l’Information)

Rédacteur en chef: Editeur administratif:

Teoman FEHİM Hasbi A KAL

Rédacteurs responsables:

Metin ZAİMOĞLU i.önder AKTAÇ

Rédactrice de l ’édition française:

Feyza AYVAZ

Direction Générale de la Presse et de l’Information-Atatürk Bulvarı 203

06688-Ankara—Turquie Tel: 167 11 80-89

Publié an anglais, français allemand et arabe

Imprimé aux établissements

(2)

Page 2 15 February 1990

A witness testifies falsity of Armenian allegations

Albert J. Amateau, a 100-year-old American applied to the notary public in the State o f California and signed a sworn statement disproving the allegations o f Armenians that their ethnic brethren suffered genocide by the Government o f the Ottoman Empire between 1915-1923.

Text o f the sworn statement follows:

-

1

-I

was born in Milas, Turkey, on April 20, 1889. In 1905, 1 was a student at the American International College in Izmir (Smyrna), Turkey. At the time, the Reverend John McGlaglan was President of the College and 1 attended classes in English conducted by Professors Lawrence and Evan-Jones. These details are;given to make it possible to ascertain the truth of my statements.

T

here, I became acquainted and friend­ ly with many Turkish-born Armenian students, most of whom were my senior. Because my grandfather, whose name I bear, had been the French Consul in Izmir, I was mistakenly considered a Christian, and a Frenchman. The Armenian students felt that they could freely discqss with me their membership in Armenian secret societies, i.e., Huntchak and Tashnak Zu- tiun, and their active participation in secret military exercises to prepare themselves for military duty in their planned subversive war against the Ottoman Empire and nation, in alliance and collaboration with Tsarist Russia.

I

n 1906, a number of wealthy Armenians were assassinated in Izmir. Mr.Hayik Balgosian and his friend, Mr.Artin Baluk- jian, were shot by two men in front of the Balgosian mansion in Karatash an af­ fluent section of Izmir. Days later, the large establishment in the center of the Izmir Bazaar, the SIVRI-SSARIAN wholesale dry goods warehouse and store was bomb­ ed. Mr.Agop Sivri-Ssarian, and a number of his Armenian employees were killed. The perpetrators then sent secret messages con­ taining threats in Armenian printed letter­ ing, to a number of Armenian merchants, doctors, lawyers and architects which said that unless they “ contributed” the sums of money the leaders of the secret societies had assessed, the recipients would suffer the same fate as Balgosian and Sivri-Ssarian.

A

majority of these addresses must

have “ contributed” . A few, who evidently were satisfied with their economic, social and political status, did not approve of the plans for subversion and rebellion. They informed the Izmir Police of their suspicion concerning the identity of the leaders of the secret societies and that the Armenian Apostolic Church in Ermeni Mahallesi, the main Armenian quarters in Izmir, was possibly the repository of arms and ammunition for the planned rebellion.

I

witnessed the police raid on that church, and the truck loads of arms and am­ munition which were taken out. Also the ar­ rest of five priests and a number of other Armenians who were in the church at the time of the raid, including a few of my fellow students at the American College.

E

vidently, I had not taken the disclosures of my fellow students seriously enough. Also, I could not unders­ tand the Armenian logic for rebellion against a country that had given its ethnic minorities the right to observe and practise their religion, conduct schools for the in­ struction of their young in their ethnic language, and favored many of them with positions of trust. I knew of many Arme­ nians in important positions in the Ottoman Treasury and Foreign Affairs, and as func­ tionaries as consuls. I knew o f many af­ fluent Armenian doctors, attorneys and even a couple o f bankers and architects. It was well known that the Armenians were the merchant princes of the Empire and that the

Sultan favored them, especially because of all the ethnic communities, they were the on­ ly ones who spoke the difficult Turkish language as a second language to their own Armenian.

A

rmenian terrorists in the United States and their duped friends have made it a career to assassinate Turkish consular of­ ficials, supposedly in revenge foi the alleg­ ed Armenian massacre in 1915. Their prelates, leaders, and even our own Califor­ nia governor, Mr.Deukmejian, have not seen fit to express their disapproval, and by their silence have tacitly approved of the assassinations.

T

he leaders of the secret Armenian societies, Huntchak and Tashnak Zu- tiun, have continued their nefarious ac­ tivities by agitating for the introduction of their alleged genocide into the instruction program of the public schools of the State of California.

T

hey have also been able, through their boast of one million Armenian votes, to influence State representatives in passing laws to place their Armenian program for a motion picture into operation.

N

ow they are trying to have the Con­ gress o f the United States pass a resolution to designate April 24, 1990, as the

heroes who will sacrifice their lives for the great cause of Armenia...Armenians proud to shed their blood for the cause of Arm enia...”

Please note the date. It was even before the declaration of war. b) EXTRACTS from a letter dated JANUARY 27, 1918, and published in the LONDON TIMES on JANUARY 30, 1918, signed by BOGHOS NUBAR, the recogniz­ ed leader of the Armenian Revolutionary Federation, TASHNAK ZUTIUN. This was a complaint that the Allies had refused to invite the A RM EN IA N REV O LU ­ TIONARY COMMITTEE HUNTCHAK to the PEACE CONFERENCE at which the Treaty between Turkey and the Allies was signed in Lausanne, Switzerland.

“ ...The unspeakable sufferings and the dreadful losses that have befallen the Armenian Nation by reason of their faithfulness to the Allies... The fact well known only to a few that ever since the beginning of the war, Armenians have been belligerents ‘de facto’ since their indignant refusal to side with the Turks... our volunteers fought in Syria and Palestine (at the time part of the Ot­ toman Empire) in the decisive vic­ tory of General Allenby... After the breakdown of Russia, the Armenian legions were the only forces to resist the advances of the Turks whom they held in check until the armistice was signed. Thus, they helped the British forces in Mesopotamia (at

To establish the truth to the satisfaction o f the Senators, I am

submitting extracts from statements - in fact, avowals- by

Armenian leaders in their addresses and/or communications

to their adherents. These extracts, and the entire statements,

are unimpeachable, and the veracity o f my quotes can be easi­

ly ascertained.

75th anniversary of their alleged genocide of 1.5 million Armenians by the Ottoman Turks in 1915.1 am amazed that intelligent and politically astute gentlemen, such as Senator Robert Dole, the leader of the Republicans in the Senate, and others, his colleagues, have been importuned to spon­ sor that resolution without any proof of the veracity of the Armenian claims. There is no doubt in my mind that Senator Dole and his colleagues are honest and honorable men. They have been duped to believe the Armenian allegations as true.

T

o establish the truth to the satisfaction of the Senators, I am submitting ex­ tracts from statements- in fact, avowals- by Armenian leaders in their addresses and or communications with their adherents. These extracts and the entire statements, are unimpeachable, and the veracity of my quotes can be easily ascertained. I am also submitting statements of others, but especially of Professor John Dewey, of Col­ umbia University, who investigated the Armenian claims of genocide.

a) EXTRACTS from the November 1914 issue of the OFFICIAL ARMENIAN GAZETTE, HUNTCHAK, published in Paris, France, by the Armenian Revolu­ tionary Committee of the ARMENIAN NATION. This was a CALL TO ARMS! “ ... The entire ARMENIAN NATION will join forces, moral and material, and wav­ ing the sword of REVOLUTION, will enter this World conflict... as comrades-in-arms of the Triple Entente, and particularly RUSSIA. They will cooperate with the ALLIES, making full use o f all political and revolutionary means for the final victory of Armenia, Cilicia, Caucasus, Azerbayjan... ,

the time also part of the Ottoman Empire) by hindering the Ger- m an/Turkish forces from sending troops elsewhere.”

Please note the reference to refusal to side with the Turks, the nation where they were born and of which they were a part. There is no claim of genocide.

c) EX TR A C TS from the MANIFESTO, delivered by His Excellen­ cy, H O V H A N ES K A T C H A Z O U N I, PRIME MINISTER of the ARMENIAN REPUBLIC (established after the first World War) at the CONVENTION of the A RM EN IA N REV O LU TIO N A RY FEDERATION, in Bucharest, Romania, JULY 1923. This was in the nature of a report.

“ ...in the fall of 1914, when Turkey had not yet entered the war but was already making preparations, Arme­ nian revolutionary bands began to form with great enthusiasm.. The ARMENIAN REVOLUTIONARY FEDERATION had active par­ ticipation in the formation o f these bands and the military action against TURKEY... In the fall of 1914 Armenian volunteer bands fought against TURKEY... This was an in­ evitable result o f the psychology on which the Armenian Nation had been nourished during an entire generation., the winter of 1914 and the spring of 1915 were periods of great activity, greatest enthusiasm and hopes... We had no doubt that the war would end with complete

SWORN STATEMENT OF ALBERT J.AMATEAU

On this eleventh day of October in the year of 1989, there appeared before me, a notary public duly commissioned by the State of California, Albert J. Amateau, known to me. In my presence the said Albert J.Amateau duly took the required oath and affixed his signature to this instrument as well as to every page of the attached Statement of Facts (nine pages), declaring it to be an integral part of his sworn statement.

victory for the Allies and Turkey would be defeated and dismembered, and its Armenian p o p u latio n would at last be liberated... We had embraced Russia wholeheartedly without any com­ punction.. We believed that the Tsarist government would grant us self government in the Caucasus and in the Armenian vilayets (Turkish provinces where many Armenians resided), liberated from Turkey, as a reward for our loyalty, our efforts and our assistance. Unfortunately, Russia did not keep her w ord...”

O

ne and a half million Armenians are claimed to have been massacred. The avowals of their leaders prior to and after the First World War prove that there had been no massacre-their leaders would have referred to it or claimed it as their calami­ ty, or at least as their contribution to the Allied cause. The allegations of massacre and/or genocide are a later invention to compel the new Turkish Republic to cede to them the five vilayets where they had in­ stalled the Armenian Republic, which they later had to give up to the Turkish Republic after a brief war. The Armenians have ever since been trying to obtain either the ter­ ritory to add to the Russian Armenian Republic, or a large sum of money as the price for stopping the terrorism.

To be continued

WEEKLY DIGEST PU BLISH ER

Kaya G.TOPERİ

(On behalf of the Directorate General of Press and Information)

Editor-in Chief: Managing Editor:

Teoman FEHİM Hasbi A KAL

Responsible Editors:

Metin ZAİMOĞLU Önder AKTAÇ

Editor in English:

Birgül TOSYALI

The Directorate General of Press and Information

Atatürk Blvd. 203 06 688 Ankara, Turkey Telephone: 167 11 80-89

(Published in English, French, German and Arabic)

Printed by

KURTULUŞ Yayıncılık Ticaret Ltd. Ştl.

Kişisel Arşivlerde İstanbul Belleği Ta h a To ro s Arşivi

Referanslar

Benzer Belgeler

differemment dans des langues differentes- etant do!11le que nous r.estons olbliıges d'analy- ser et de fıormer -ensuite notre m : onde se1on notre prıopr , e systeme

Il ne savait pas très bien qui il cherchait, ni pourquoi, mais quelqu'un, comme cela, simplement pour lui dire très vite et tout de suite après lire la réponse dans ses yeux :..

Dans le troisième texte, on exprime de façon très forte la sensibilité d’un enfant musicien dont le coeur bat en appuyant le doigt sur les touches

L’inconnu qui est un homme mûr, bien habillé, ayant des manières élégantes, dit qu’il est chargé par une personne respectable de parler à ce musicien autrichien.. La

Paris ne serait pas Paris sans ses illustres monuments : la tour Eiffel, l’Arc de Triomphe ou Notre-Dame.. Paris ne serait pas Paris sans ses illustres

Ayd~n kemer parçalar~~ üzerinde daha önce de belirtti~imiz gibi, ana bezek- ler olarak bo~a ve arslan betimlemeleri görülmektedir.. Kemer yüzeyinde yer alan bo~alar (lev. t a,b),

Tarih boyunca işitme ve konuşma engellilerin sadece tedavisi, rehabilitasyonu ve eğitimi değil, aynı zamanda, bütün yaşantıları da onların biyolojik fark-

Asistanlığından başlayarak ölümüne değin geçen süre içinde gerek hekim, gerekse yönetici olarak sü­ rekli aktif bir çalışma içinde olan Uğur Derman, ile­ rici,