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A witness testifies falsity of Armenian allegations

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Academic year: 2021

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Tam metin

(1)

Un témoin dénonce la falsification des allégations arméniennes

RECTIFICATIF:

L ’introduction de l ’article publié dans la deuxième page de notre numéro de la semaine der­ nière sous le titre "Un témoin dénonce la falsification des allégations arméniennes” a été publiée, par une erreur d ’impression sous le titre "La déclaration du ministère des affaires étrangères”. L e premier paragraphe aurait dû être comme suit:

Etat de Calfomle. a rtdlaé

ü d H q u W estp asd ’accorti disant que tours frères ethni

ottonlane " part

sous sermeni:____________________

Mous demandons à nos lecteurs de bien vouloir nous excuser pour cette erreur. -

2

-Les allégations de massacre et/ou de génocide sont une invention plus tardive qui visait à obliger la jeune République turque à rétrocéder aux arméniens les cinq villayets dans lesquelles ils avaient installé la Répu­ blique arménienne et qu’ils durent abandon­ ner plus tard à la République turque après une courte guerre. Depuis lors, les Armé­ niens ont toujours essayé d ’obtenir ou bien des territoires à ajouter à la République russe arménienne, ou une énorme somme d’argent comme prix de rachat du ter­ rorisme.

L

e peuple arménien doit s’en prendre à ses propres chefs et à leurs sociétés secrètes révolutionnaires en ce qui concerne les actions subversives qui les ont conduit à participer à la guerre aux côtés dès alliés. Ils peuvent s’en prendre à la Russie qui n’a pas tenu ses engagements, et aux alliés qui ne leur ont pas accordé le crédit qu’ils espé­ raient vu l’aide qu’ils avaient fourni, mais ils n ’ont certainement aucune raison de s‘en prendre à la République turque ni même au défunt Empire ottoman, ainsi que leurs propres chefs l’ont dit. Voyons maintenant ce que le professeur John Dewey, de l’Uni­ versité de Columbia a à dire sur la question- c’est un chrétien tolérant qui partit pour le Moyen Orient en 1928 afin de faire des recherches sur les revendications arménien­ nes de génocide- Ceci est un extrait de son rapport publié dans “ La Nouvelle Républi­ que” , vol.40 le 12 novembre 1928.

“ Les quelques américains qui pleurent et à juste titre, sur les misères des arméniens, savent bien que jusqu’à l’avènement des ambitions nationalistes, qui ont commencé dans les années 1970, les Arméniens étaient la minorité la plus favorisée de Turquie; ou bien que pendant la Grande Guerre ils ont, par traîtrise, retourné les villes turques, les poussant à tenir pour l’envahisseur russe; qu’ils se vantaient d ’avoir levé une armée de cent cinquante mille hommes pour faire une guerre civile; q u ’ils ont brûlé au moins cent villages turcs et exterminé leur population. Je ne mentionne pas ces faits pour faire des estimations ou pour atténuer

la responsabilité, car l’histoire des provo­ cations et des représailles est aussi inutile qu’infinie.

F

inalement on peut rappeler que les juifs élirent domicile dans la Turquie “ fana­ tique” lorsqu’ils furent chassés d ’Europe, et en particulier de l’Espagne, par des chré­ tiens “ pleins de bonté” et certains vivent en Turquie depuis plusieurs siècles, au moins avec autant de tranquillité et de liberté que leurs confrères turcs musulmans, tous étant également exposés à “ l’avidité” de leurs dirigeants communs. Pour quelqu’un qui a été élevé, comme l’ont été bien des améri­ cains, dans les traditions des missions étran­ gères et Gladstoniennes, les conditions de vie des juifs de Turquie sont presque une démonstration mathématique de ce que les différences de religion n ’eurent aucune influence dans la tragédie qui a eu lieu en Turquie, puisqu’elles se sont seulement combinées avec des aspirations de sépara­ tion politique, ce que toute nation dans le monde eut appelé une trahison...”

B

ien entendu on n’avait pas informé le professeur Dewey du rejet par les Com­ munautés juives de Turquie des appels de la part des sionistes européens pour une aide politique et financière. Pour autant que les juifs de Turquie aient été concernés, les pro­ positions des sionistes étaient “ subversi­ ves” , à moins que et jusqu’à ce que le gouvernement ottoman ne les reconnaisse. A aucun moment les juifs de Turquie n’ont nourri d ’aspirations à la separation politi­ que de leurs sauveurs ottomans qui les avaient accueillis lorsqu’aucun autre pays ne les autorisait à entrer chez lui ou à y élire domicile.

E

1922, à Izmir, lorsqu’il fit 100.000 pri­ sonniers parmi les soldats grecs que les gouvernements alliés avaient autorisés à envahir et à occuper la Turquie, en Asie, Kemal Atatürk déclara:

“ De toutes les Millets ethniques (com­ munautés), les juifs sont ceux qui choisirent de rester fidèles à leur mère patrie” .

V

oici maintenant un bref aperçu des atrocités arméniennes dirigées contre les musulmans et les juifs-extrait d’une let­

tre datée du 11 décembre 1983, publiée dans la “ Chronique de San Francisco” , comme réponse à une autre lettre qui, elle, avait été publiée, dans le même journal sous la signa­ ture d ’un certain B.Amarian qui comptait 1,5 million de victimes, pour le génocide perpétré par les turcs ottomans:

“ ...Nous détenons des informations de première main et l’évidence des attrocités arméniennes commises à l’encontre de notre peuple (ju>f) et qui ont précédé le soit-disant massacre des arméniens dont vous dites qu’il a eu lieu en 1915. Des membres de notre famille ont été les témoins du meurtre de 148 autres membres de notre famille près d’Erzurum, en Turquie, par des voisins arméniens, enclins à détruire tout ce qui était de près ou de loin juif ou musulman.

L

es arméniens devraient se pencher un peu sur leur propre histoire et voir les ravages qu’eux-mêmes et leurs ancêtres ont causé chez leurs voisins... les arméniens s’étaient ligués avec Hitler au cours de la dernière guerre, se fondant sur sa promesse de leur octroyer un gouvernement indépen­ dant, à condition qu’eux-mêmes en retour soutiennent l’extermination des juifs... les arméniens ont fait aussi des propositions franches en vue d ’actes anti-semites en se liant avec les russes communistes. M.Ama- rijan, pouvez-vous prouver, comme vous le dites, qu’un massacre sur une grande échelle a eu lieu? Je n ’ai pas besoin de vos préten­ tions.” Signé Elihu Ben Levi. Vacaville, California.

R

attachée à la dernière page de ces déclarations, se trouve la preuve de la collaboration arménienne avec Hitler.

M

on ami, Franz Werfel, originaire de Vienne en Autriche, qui est écrivain, a écrit un livre qui a pour titre “ les 40 jours à Musa Dağı” , c’est une histoire du massa­ cre des arméniens par les turcs ottomans. L’histoire lui a été racontée par son ami

* l’évêque arménien de Vienne et Werfel n’a

jamais douté de la véracité du récit de l’évê­ que. Il n’a pas fait de recherches sur ce qu’il a écrit. Des années plus tard, lorsque les véritables événements de Musa Dağı furent reconstitués grâce aux recherches d ’histo­ riens neutres-ce qui n’a jamais été démenti par les arméniens- Werfel découvrit qu’il avait été trompé par son ami l’évêque qui avait inventé l’histoire. Werfel m ’avoua sa honte et son remords d ’avoir écrit cette his­ toire, dans laquelle il accusait les ottomans d ’être des agresseurs et des terroristes.

LA VERITE

C

inquante mille arméniens habitant à l’intérieur et à l’extérieur des villages de la région d ’Erzurum en Turquie grimpè­ rent clandestinement une montagne appe­ lée Musa Dağı (dağ signifie montagne en

turc) munis d’armes, de munitions, de nour­ riture et d’eau en quantité suffisante pour soutenir un siège de plusieurs jours. Avant même d ’escalader cette montagne, ils avaient pris en otage des centaines de Turcs et de juifs, habitants des mêmes villages, et leurs voisins, avec lesquels ils étaient sup­ posés être en bons termes. Ils les tuèrent tous de sang froid pour la simple raison qu’ils étaient musulmans ou juifs. Par la suite, chaque nuit des bandes armées d’arméniens descendaient de cette montagne et atta­ quaient l’arrière-garde des armées ottoma­ nes et allemandes qui combattaient contre l’envahisseur russe. Ceci se passait au tout début de la Première Guerre Mondiale et fai­ sait partie des projets secrets faits par les russes et que la Fédération Révolutionnaire Arménienne devait se charger d ’appliquer.

P

our les Turcs, les auteurs de ces attaques étaient comme un mythe:les assaillants arméniens disparaissaient très vite. Les otto­ mans avaient beau essayer au début, ils ne parvenaient pas à retrouver les arméniens qui se cachaient, mais finalement ils décou­ vrirent que Musa Dağı était leur lieu de repli. Les Ottomans s’apperçurent que la forteresse était imprenable. Ils en firent le siège et attendirent 40 jours avant que l’arrière-garde arménienne n’avoue sa défaite et ne jette les armes. Mais les armées ottomanes trouvèrent la montagne aban­ donnée. Le gros de l’armée s’était enfui en descendant l’autre versant de la montagne où il avait trouvé une sortie vers la Médi­ terranée. On avait fait signe à des troupes françaises et britanniques qui avaient recueilli le plus fort de l’armée qu’elles

(2)

FALSIFICATION DES ALLEGATIONS ARMENIENNES

s a ite de la p a g e 2

avaient transporté a Alexandrie en Egypte, puis qu’elles avaient mis sous contrôle bri­ tannique. L’arrière-garde, moins de 500 per­ sonnes, qui s’était rendue, fût capturée par les ottomans.

C

ependant, en racontant l’histoire à Werfel pour qu’il l’écrive, l’évêque avait déclaré que 50.000 victimes avaient été capturées et mises à mort-une histoire inven­ tée, exactement comme celle des 1,5 million de personnes massacrées en 1915. Si 1,5 mil­ lion de personnes ont trouvé la mort au cours de cette guerre, elles l’ont trouvée en sol­ dats, en combattant une guerre qui était la leur contre l’Empire Ottoman qui les avait traités humainement et avec bienveillance.

Elles ont été les victimes des duperies des rus­ ses, des alliés, et de leurs propres chefs.

I

l se peut que quelques milliers d’armé­ niens aient perdu la vie au cours de leur déplacement, mais alors c’est à cause de leur propre révolte.

E

n faisant cet exposé de la vérité et en dévoilant ma propre adresse, je sais que je risque de subir le harcèlent des armé­ niens. J ’ai déjà été soumis à des menaces par téléphone et par lettre. Cependant, la vérité doit être dite. Né au temps de l’Empire Otto­ man d ’où j ’ai émigré en 1910 et dans lequel je ne suis jamais revenu vivre, je dois décla­ rer ceci.

1) Je ne suis pas et n’ai jamais été

employé ni payé par n ’importe quel gouver­ nement turc.

2) Je ne puis pas et n ’ai jamais été financièrement intéressé par une quelconque affaire en Turquie.

3) Mes parents sont morts avant la seconde Guerre Mondiale. Ma soeur et mon beau-frère résidents de l’île de Rhodes, ont été faits prisonniers et tués par les nazis d’Hitler. Je n’ai aucune famille et aucun ami en Turquie.

I

l doit être évident que je n’ai aucune autre raison de prendre des risques que celle que me dicte ma conscience qui est de dire la vérité sans penser à mon amour pour le pays qui m ’a vu naître.

J

e demande instamment aux honorables sénateurs et aux autres membres du gou­ vernement d’exiger des arméniens la preuve de leurs revendications et l’explication des aveux faits par leurs propres chefs. Dans ces circonstances, et ayant en tête les preuves mentionnées ci-dessus, je ne peux pas ima­ giner que les sénateurs puissent en toute bonne foi faire passer cette Résolution.

C

’est bien peu de dire que cela ne vise pas à blesser les turcs ou les relations turco-américaines. En accueillant favorable­ ment cette Résolution sans preuves, ils vont en fait à l’encontre des intérêts de la Tur­ quie et de la sécurité des Etats-Unis ainsi que de celle de l’OTAN.

(3)

A witness testifies falsity of Armenian

A lbert J.Amateau, a 100-year-old American, applied to th e notary pu blic in the State o f California an d signed a sworn statem ent disproving the allegations o f Armenians that their ethnic brethren suffered genocide b y the Government o f th e Ottoman Em­

pire between 1915-1923.

Text o f the sworn statem ent follow s: ___________________ _______ ________ __

Continued from last issue

T

he Armenian people must blame their own leaders and their secret revolu­ tionary societies for the subversive actions which led to their participation in the war with the Allies.They can blame Russia for reneging on its promise, and the Allies for not giving them due credit for their help, but they certainly have no reason to blame the Turkish Republic and/or even the now defunct Ottoman Empire, as their own leaders have confessed. Let us now see what Professor John Dewey, o f Columbia University, has to say- a broad-minded Christian gentlemen who went to the Mid­ dle East in 1928, to investigate the Armenian claims of genocide. This is extracted from his report published in THE NEW REPUBLIC, vol.40. November 12, 1928:

“ Few Americans who mourn, and justly, the miseries o f the Arme­ nians, are aware that till the rise of the nationalistic ambitions, beginn­ ing with the 70s, the Armenians were the favored portion of the popula­ tion of Turkey; or that in the Great War, they treacherously turned Turkish cities over to the Russian in­ vaders; that they boasted of having raised a hundred and fifty thousand (150,000) men to fight a civil war; that they burned at least one hun­ dred (100) Turkish villages and ex­ terminated their populations. I do not mention these things by way of appraising or extenuating blame, because the story of provocations and reprisals is as futile as it is endless. Finally, one recalls that the Jews took their abode in “ fanatic” Turkey when they were expelled from Europe, especially Spain, by “ saintly” Christians, and they have lived in Turkey for some centuries, at least in as much tranquility and liberty as their fellow Muslim Turks, all being exposed alike to the rapaci­ ty of their common rulers. To one brought up, as most Americans have been, in the Gladstonian and foreign missionary traditions, the condition of the Jews of Turkey is almost a mathematical demonstration that religious differences had no in­ fluence in the tragedy of Turkey, on­ ly as they were combined with the aspirations for political separation, which every nation in the world would have treated as treasonable..”

P

rofessor Dewey had evidently not been told of the rejection by the Jewish

Communities of Turkey of the appeals by the European Zionists for political and financial assistance. Insofar as the Jews of Turkey were concerned, the Zionist pro­ posals were “ subversive” , unless and until the Ottoman government agreed to them. At no time did the Jews of Turkey nurse aspirations for political separation from their Ottoman saviors, who had received them when no other country allowed their either entry or residence.

I

n 1992 in Izmir, Kemal Atatürk, when he captured 100,000 Greek soldiers who had been allowed by the allied governments to invade and occupy Turkey in Asia, said:

“ OF ALL THE ETHNIC MILLETS (com m unities) THE JEWS ELECTED TO REMAIN LOYAL TO THEIR

MOTHERLAND”

N

ow for a brief view of Armenian atrocities against Muslims and Jews- EXTRACTS from a letter dated December 11, 1983, published in the SAN FRAN­ CISCO CHRONICLE, as an answer to a letter that had been published in the same journal under the signature of one

B.AMARIAN, claiming 1.5 million victims of genocide by the Ottoman Turks:

“ ...We have first hand information and evidence of Armenian atrocities against our people (Jews) which preceded the so-called massacre of Armenians which you allege in 1915. Members of our family witnessed the murder of 148 members of out family near Erzurum, Turkey, by Arm enian neighbors, bent on destroying anything and anybody remotely Jewish an d /o r Muslim. Armenians should look to their own history and see the havoc they and their ancestors perpetrated upon their neighbors... Armenians were in league with HITLER in the last war, on his promise to grant them self government if, in return, the Arme­ nians would help exterm inate Jews...Armenians were also hearty proponents of the anti-Semitic acts in league with the Russian Com­ munists. Mr.Amarian! Prove that, as you say, a large scale massacre of Armenians occurred. 1 don’t need your bias.” Signed ELIHU BEN LEVI. Vacaville, California. Attached as the last page of this statement is proof of Armenian col­ laboration with Hitler.

M

y friend, Franz Werfel, of Vienna, Austria, a writer, wrote a book en­ titled THE 40 DAYS AT MUSSA DAGH, a histroy of the massacre o f Armenians by

the Ottoman Turks. The story was told him by his friend, the Armenian Bishop of Vien­ na and Werfel never doubted the Bishop's account. He did not investigate what he had written. Years later, when the true facts about Mussa Dagh were established by the research of neutral investigators- which wets never denied by the Armenians- Werfel discovered that he had been duped by his friend, the Bishop, with a concocted story. Werfel confessed to me his shame and remorse for having written that story in which he had blamed the Ottomans as the aggressors and terrorists.

THE TRUTH

F

ifty thousand Armenians, residents of villages in and around Erzurum in Turkey, surreptitiously ascended a mountain called Mussa Dagh (dagh is Turkish for mountain) with arms, ammunition, victuals and water, sufficient to withstand a siege of many days. Before ascending that moun­ tain, they had captured hundreds of Muslim Turks and Jews, their fellow citizens and neighbors, with whom they were supposedly on good terms.They murdered them all in cold blood, for no other reason than they were Muslims and Jews. Thereafter, every night armed Armenian bands came down from that mountain and attacked the rear of the Ottoman and German armies fighting the Russian invaders. This was at the very beginning of the First World War, and part of the secret plans made by the Russians and assigned to the Armenian Revolutionary Federation.

T

he Turks were mystified. The Arme­ nian attackers would disappear. Try as they did, at first the Ottomans were unable to trace the disappearing Armenians, but finally they discovered that Mussa Dagh was the hiding place. The Ottomans found the mountain fortress unassailable. They laid siege and waited 40 days before the Armenian rear guard conceded defeat and laid down their arms. But the Ottoman forces found the mountain empty. The large army had disappeared down the other side of the mountain where they had found an exit to the Mediterranean. French and British men-of-war had been signalled and they picked up the main army, transporting the soldiers to Alexandria, Egypt, then under the control of the British. Less than 500, the rear guard who gave themselves up, were captured by the Ottomans.

Y

et, in telling the story to Werfel to write, the Bishop had claimed 50,000 victims captured and put to death- an in­ vented story, just as is the story of 1.5 million massacred in 1915. If 1.5 million Armenians lost their lives during that war, they died as soldiers, fighting a war of their own choosing against the Ottoman Emipre which had treated them decently and benignly. They were the duped victims of the Russians, of the Allies, and of their own Armenian leaders.

allegations

A

few thousand Armenians may nave lost their lives during their relocation, caused by their own subversion.

I

n making this expose of the truth and disclosing my home address, I know- that I risk Armenian harassment. I have already been subjected to telephone and written threats. However, the truth must be told. As one born in the Ottoman Empire, from which I emigrated in 1910, and have never returned to live, I must declare:

1) I am not and never have been employed or paid by any govern­ ment in Turkey.

2) 1 am not now and never have been Financially interested in any business in Turkey.

3) My parents died before the Se­ cond World War. My sister and brother-in-law, residents of the Island of Rhodes, were captured and murdered by Hitler’s Nazis. I have no relatives or friends in Turkey.

I

t should be evident that I have no motive in taking the risk, other than my cons­ cientious duty to tell the truth out of my love for my native land.

I

beg the Honorable Senators and other government officials to demand from the Armenians proof of their claims and ex­ planation of the statement of avowals made by their own leaders. Under the cir­ cumstances and in view of the above proof, 1 cannot conceive that the Senators can, in good conscience, pass the resolution.

It is not enough to say that they do not mean to h u rt the T urks or Turkish/'American relations but by enter­ taining that resolution without proof, they are actually going against the interests of Turkey and the safety of the United States and of NATO.

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