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TT-5 6 , R U E R A V N O U A R D
T É L . A U T E U 1 L 8 4 8 2
Ce 6 Mai 1C31.
Mon cher Bey,
Voici à titre très confidentiel les renseignements que je'reçois de ma Banque. Je ne sais pas où vous en êtes avec
le Capitaine Cohn et L. R?nz,mais j ’ap-
prends que le Capitaine Cohn sera de re tour à Paris dans .une quinzaine de jours'
prié d ’approcher H. de La Pradelle et M.
Mandela tara pour les sonder au sujet de la con
sultation dont j ’avais toujours suggéré l ’op
portunité.
Mettez,je vous prie, aux pieds de Sa Majest
l ’hommage de mes fidèles respects et agréez,mon
cher Bey, l ’expression de mes sentiments les
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T É L . A U T E U I L 8 4 - ’ 8 2
Ce 5 Novembre 1931.
Mon cher Bey,
J ’ai vu hier dans les journaux de
grandes choses dont j ’eus l ’immédiat désir
d ’offrir à Sa Majesté Impériale et Cali-
fale l ’hommage très-respectueux de profon
des et bien vives félicitations. Je n ’o
sais point cependant le faire avant de consulter sur leur opportunité S.A.I. le Prince Osman Fouad. Après avoir
télépho-3on Sxc. Hussein Naqib Bey,
né chez lui à plusieurs reprises sans réponse,
j ’envoyai rn’enquérir,et appris que le Prince et
la Princesse avaient quitté Paris sans esprit de
retour pour s ’installer à Nice.
Vous aurez certainement l ’occasion de voir
LL. À. I. Voudriez vous être assez bon pour leur
dire combien je déplore que mon ignorance m ’ait
privé de l ’honneur d ’aller les saluer avant leur
départ.
Veuillez bien déposer,je vous prie,aux pieds
de S. M. I. et C. 1 ’hommage de mon fidèle et
très-respectueux dévouement,rappelez-moi au gra cieux souvenir de 3. A. I. le Prince Eumer Farouk et croyez,mon cher Bey,je vous prie, à tous mes meilleurs sentiments de bien sincère amitié.
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